John Moises Besaile Fayad, dit « Jhony », frère de l'ancien sénateur condamné pour le scandale du « cartel de la Toga » Musa Besaile ; est accusé d'avoir détourné une rivière au profit de ses terres. Il convient de noter que depuis 2020, il fait l'objet d'une enquête de la Cour suprême de justice pour mensonge idéologique dans un document public aggravé, car prétendument en 2012, alors qu'il était secrétaire à l'intérieur du gouvernorat de Cordoue, dans l'administration d'Alejandro Lyons , il était favorable à la passation de contrats scientifiques et à la technologie, qui étaient financés par des fonds du système général de redevances.
La plainte déposée par Caracol Radio indique que le bureau du procureur général a remis un rapport technique au bureau du procureur en 2020, qui montrerait que le sénateur d'aujourd'hui, de l'Union pour le parti populaire, ou Parti de l'U, avec le deuxième plus haut vote de son mouvement, du dernières élections, 132 798 voix ; le fleuve San Jorge serait intervenu dans le domaine de Santo Domingo, qui lui appartient, dans le district de Los Cayitos, dans la municipalité de Caimito dans le département de Sucre.
La constatation faite par la Corporation pour le développement durable de La Mojana et San Jorge, bCORPOMOJANA, aurait élaboré un rapport avec le bureau du procureur général, où il aurait prouvé le remplissage d'une partie de la rivière, afin de la détourner, en plus de brûler le couche végétale, générant ainsi un déséquilibre de l'écosystème, polluant les eaux. Ces terres sont désormais destinées au pâturage.
De plus, l'intervention n'aurait pas été limitée à une seule section, il y en aurait au total 3, dont l'une de près d'un kilomètre de long, ce qui a accéléré l'assèchement des marais d'Oscurio et d'Oscurito. La plainte déposée par la station de radio indiquerait que depuis le 23 mars 2020, cette enquête serait menée par le bureau du procureur général, qui, en plus d'être partagée avec le bureau du procureur, a été délégué à la Cour suprême de justice.
Les autorités avaient ordonné la mise en œuvre d'un processus de sanction, afin de déterminer la valeur des dommages causés et de reconstruire la topographie de la zone. Mais aucune de ces mesures ne s'est révélée efficace, aucune des sanctions n'ayant été renvoyée au sénateur.
Le député a absolument nié toutes les accusations portées contre lui, en fait, il a assuré qu'ils pouvaient aller fouiller la région, pour vérifier que ces travaux n'avaient pas été effectués ; en outre, que le séchage était destiné aux intérêts particuliers des agriculteurs et des pêcheurs de la région.
Cependant, en plus des enquêtes sur des crimes environnementaux présumés, la Cour constitutionnelle enquête sur lui pour le détournement d'argent susmentionné. Cependant, une autre diligence s'y pose, puisqu'on tente de déterminer si les ressources qu'il aurait remises à la société bénéficiaire ont ensuite été dirigées et distribuées entre lui et un autre de ses proches.
Il convient de noter que son frère Musa Besaile, enquêté par des parapolitiques et le « cartel de la Toga », est privé de liberté pour les crimes de concert pour commettre des crimes et des pots-de-vin. La première chose à associer à des structures paramilitaires afin d'atteindre la Chambre des représentants et la seconde à payer pour que les procédures pénales engagées par la Cour suprême aillent en leur faveur.
Cela s'ajoute au délit de détournement de fonds par appropriation, pour avoir reçu des pots-de-vin dans le cadre de contrats attribués par le gouvernement de Cordoue. En fait, Alejandro Lyons, qui était le gouverneur de ce département, purge une peine de cinq ans de prison pour gestion irrégulière des ressources pendant son administration.
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