La raison pour laquelle certaines personnes privées de liberté pourront voter le 29 mai

La Cour constitutionnelle a confirmé le droit politique de certains prisonniers de les autoriser à voter lors de l'élection du Président de la République

Jóvenes sufragan durante la elección de los Consejos Municipales y Locales de Juventud el domingo 5 de diciembre de 2021, en Bogotá (Colombia). EFE/ Mauricio Dueñas Castañeda

Au cours des dernières heures, la Cour constitutionnelle a confirmé que certains citoyens privés de liberté peuvent voter les prochains jours des élections qui se tiendront dans le pays. La décision a été annoncée le lundi 18 avril par le Jugement No. T-324/94 dans lequel la Cour a établi que, outre les citoyens de plus de 18 ans ayant le droit de vote, certains prisonniers pourront également le faire le 29 mai.

Ce document indique que le droit de vote des citoyens doit être garanti par l'État, afin que cela conduise à un bon développement de la démocratie. Dans le cas des personnes privées de liberté, elles ne peuvent pas exercer ce droit, mais ce jugement considère celles qui restent en détention mais qui sont toujours présumées innocentes.

En jouissant du bénéfice de la présomption d'innocence, la personne privée de liberté doit être considérée comme un citoyen avec tous ses droits, y compris le droit de participer aux élections avec son vote et, en outre, ils ont ajouté qu' « ils méritent un traitement préférentiel parce qu'ils se trouvent dans une situation de infériorité ».

Comme ces citoyens n'ont toujours pas de peine, ce qui fait perdre à une personne ses droits politiques, le Greffier a noté que ces personnes « font partie des listes électorales et peuvent exercer leur droit de vote ». La Cour a ensuite déclaré que, dans ce cas, l'État devait garantir aux citoyens privés de liberté la logistique nécessaire pour qu'ils puissent exercer leur droit de vote.

Selon le dernier recensement, 38 millions de citoyens en Colombie ont le droit d'exercer leur droit de vote ; tous ont plus de 18 ans, y compris ceux qui vivent à l'étranger et ceux qui sont privés de liberté qui remplissent les conditions détaillées ci-dessus.

29 mars au 30 avril : dessin et publication des listes des jurés votants

23 au 29 mai : Début du vote à l'étranger

28 mai : Dry Law commence à 18 h 00

29 mai : Jour de l'élection présidentielle et remise des comptes préliminaires

30 mai : La loi sur la sécheresse prend fin à 6 h 00

31 mai : Début des comptes généraux

C'est-à-dire que dimanche prochain, le 29 mai, dans les bureaux de vote, c'était comme suit.

Au premier rang sont placés : la première place est Rodolfo Hernández, de la Ligue des gouverneurs anti-corruption, avec sa formule vice-présidentielle, Marlene Castillo. En deuxième position se trouve Colombia Justa y Libres avec le candidat à la présidentielle John Milton Rodriguez et sa formule Sandra de las Lajas Torres. À la troisième place se trouvait le candidat à la présidence de l'équipe pour la Colombie, Federico Gutiérrez, avec sa formule vice-présidentielle Rodrigo Lara.

La deuxième rangée de la carte sera dirigée par la coalition Centro Esperanza avec Sergio Fajardo et Luis Gilberto Murillo. Vient ensuite Salvation Nacional avec le candidat à la présidence Enrique Gómez Martínez et sa formule Carlos Cuartas et enfin dans cette deuxième rangée se trouve le Pacte historique avec son candidat à la présidence, Gustavo Petro et la candidate à la vice-présidence Francia Márquez.

Dans la troisième et dernière rangée de la carte se trouvent l'ancien gouverneur d'Antioquia, Luis Pérez et Ceferino Mosquera pour la Colombie Piensa en Grande ; suivi par Íngrid Betancourt et José Luis Esparza, par le parti Green Oxygen ; et le dernier est le vote blanc.

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