Le parquet accuse le maire de Manaure d'irrégularités en sa possession

Le chien de garde cherche à établir si l'ancien président a encouru des motifs d'incapacité, parce qu'il a occupé ses fonctions malgré avoir une relation présumée au deuxième degré de consanguinité (frère) avec Carlos Arturo Robles Julio

Le 10 avril, le bureau du procureur général a annoncé qu'il avait porté plainte contre le maire de Manaure, La Guajira, Juan José Robles Julio, pour des irrégularités présumées lors de l'enregistrement et de l'entrée en fonction en tant que première autorité de la municipalité pour la période (2020-2023).

Le chien de garde cherche à établir si l'ancien président a invoqué des motifs d'incapacité, pour occuper ses fonctions malgré une relation présumée au deuxième degré de consanguinité (frère) avec Carlos Arturo Robles Julio (2018-2021), qui a été recteur de l'Université de La Guajira au cours du 12 mois avant son élection comme maire.

Pour ces faits, dans un jugement du tribunal administratif de La Guajira du 15 janvier 2021, confirmé par le Conseil d'État, l'élection de Juan José Robles Julio au poste de maire de la municipalité de Manaure a été déclarée nulle et non avenue, et les pouvoirs accordés par la commission de dépouillement qui a accrédité lui en tant que tel a été ordonné d'être annulé.

Pour l'Entité, l'ancien président a pu violer le paragraphe 4 de l'article 37 de la loi 617 de 2000, qui stipule que « Il ne peut être inscrit comme candidat, ni élu, ni nommé maire de municipalité ou de district : (...) 4. Toute personne ayant des liens (...) de parenté jusqu'au deuxième degré de consanguinité, avec des fonctionnaires qui, dans les douze (12) mois précédant l'élection, ont exercé l'autorité administrative (...) dans la municipalité concernée (...) ».

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À ce stade de la procédure, la faute éventuelle de la personne faisant l'objet de l'enquête a été provisoirement classée comme très grave, commise comme une faute très grave, pour violation manifeste des règles impératives.

Le bureau du procureur régional de La Guajira a indiqué qu'après la phase d'enquête, le dossier sera envoyé au bureau désigné pour faire avancer le procès disciplinaire, devant lequel les sujets de la procédure peuvent soumettre des disclaimers, version gratuite, et fournir et/ou demander des preuves et leurs plaidoiries, si ils le jugent approprié.

Autres actions du Bureau du Procureur

Le ministère public a émis des déclarations d'opposition à l'encontre des anciens conseillers de San Martín, Cesar, pour la période 2016-2019, Heraldo Quintero Jiménez, Fernando González Navarro, Germán Quiñónez Valero et Wilmer Arias Jiménez, pour des irrégularités présumées dans la sélection du fonctionnaire municipal.

Le bureau du procureur provincial d'Ocaña, Norte de Santander, enquête sur eux parce que les anciens fonctionnaires, qui étaient membres du conseil d'administration de la société en 2016, ont signé un accord avec la Fédération nationale des conseils (Fenacón) pour soutenir la sélection, sans apparemment satisfaire aux exigences requises par cette entité par la loi.

Selon l'enquête, il semble que Fenacón n'ait pas été constituée en tant qu'université ou établissement d'enseignement supérieur, ni spécialisée dans la sélection du personnel, de sorte qu'elle ne remplissait pas les conditions d'aptitude et d'expérience pour soutenir l'élection du responsable municipal pour la période 2016 — 2020.

Pour l'organe de surveillance, d'anciens fonctionnaires ont peut-être violé les principes de moralité, d'économie, de transparence, de sélection objective et de responsabilité de la fonction administrative. Pour ces événements, le Bureau du Procureur a qualifié le comportement présumé des personnes faisant l'objet de l'enquête d'infraction très grave commise comme une faute très grave. Les quatre anciens membres du personnel peuvent demander à être entendus dans une version gratuite s'ils le demandent.

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