Ce samedi 9 avril, un homme a été abattu juste devant le nouveau siège de la justice de a href="https://www.infobae.com/tag/callao/" rel="noopener noreferrer" target="_blank"bCallao, près du premier port. L'homme ne serait pas mort sur place, mais a été transporté à l'hôpital. Selon les informations communiquées par les autorités, ce crime aurait été perpétré par un règlement de comptes.
Le criminel a tiré deux coups de feu sur des vêtements en feu et a visé la tête de la victime. Tout a été enregistré sur les caméras de sécurité de la zone.
L'homme n'est pas mort juste là, mais des voisins et des passants sont venus l'aider. Ensuite, ils ont appelé un policier, il a donc réussi à être transféré dans un hôpital voisin. Pour le moment, il n'y a aucune information sur son statut.
À l'heure actuelle, les autorités soutiennent que ce crime était un règlement de comptes.
La police a déjà arrêté une personne. Selon des voisins et des marchands du marché voisin, le sujet aurait tenté de voler le téléphone portable de la victime.
Aujourd'hui, les commerçants et les voisins ont perdu toute la sécurité qu'ils auraient pu ressentir avec la construction du siège du pouvoir judiciaire à proximité. L'insécurité dans la région inquiète la population, malgré le fait que la région de Callao et la région métropolitaine de Lima soient toutes deux soumises à l'état d'urgence.
QU'EST-CE QUE L'ÉTAT D'URGENCE ?
Il s'agit d'une mesure qui, selon la Constitution politique du Pérou, peut être décrétée par le Président de la République avec l'accord du Conseil des ministres et ne doit être que pour une certaine période. Selon la manière dont les autorités le pensent, il peut s'appliquer à l'ensemble du territoire national ou à un seul secteur spécifique.
L'état d'urgence est déclaré lorsqu'il y a « perturbation de la paix ou de l'ordre intérieur, catastrophe ou circonstances graves affectant la vie de la nation ». L'article 137 de la Constitution stipule que cette mesure ne peut excéder 60 jours et si elle doit être prolongée, un nouveau décret sera nécessaire.
« En cas d'état d'urgence, les forces armées assument le contrôle de l'ordre interne si le Président de la République le prévoit », cependant, dans ce cas, c'est la police chargée de l'ordre, qui sera soutenue par les forces armées.
DROITS SUSPENDUS
Droit à la liberté : les sujets de droits peuvent exercer tout type d'activité impliquant l'exercice d'autres droits fondamentaux autres que la liberté, à condition qu'ils ne violent pas avec elle les normes qui composent l'ordre public, les bonnes coutumes et celles qui sont impératives par nature.
Inviolabilité du domicile : Les sujets de droits peuvent empêcher toute autre personne d'entrer chez eux pour mener des enquêtes, des perquisitions ou d'autres motifs s'ils ne l'autorisent pas ou lorsque des tiers n'ont pas d'ordonnance du tribunal. Ils ne peuvent toutefois pas l'empêcher en cas de flagrant délit ou de danger très grave de sa perpétration.
Liberté de réunion : Les sujets de droit peuvent se regrouper, se rassembler ou se réunir, sans préavis, à la fois dans des lieux privés et ouverts au public tant qu'ils le font pacifiquement. Au contraire, les réunions dans des lieux publics ou sur la route nécessitent un préavis à l'autorité, qui ne peut les interdire que pour des raisons avérées de sécurité ou de santé publique.
Liberté de transit sur le territoire national : Les sujets de droits, en principe, peuvent se déplacer librement, à l'intérieur du territoire national sur lequel ils ont leur domicile et également en dehors de celui-ci, ce qui implique la possibilité de choisir où vivre. Sauf pour des raisons de santé, par décision de justice ou par application de la loi sur les étrangers.