Les États-Unis ont réitéré que la réforme de l'électricité d'AMLO violerait le T-MEC et mettrait ses investissements en danger.

Le gouvernement de Joe Biden a expliqué que le secrétaire Kerry et l'ambassadeur Ken Salazar ont réitéré leur inquiétude concernant les changements dans la politique énergétique du Mexique

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Imagen de archivo. El presidente de México, Andrés Manuel López Obrador, se reúne con el enviado climático de Estados Unidos, John Kerry, y el embajador estadounidense en el país, Ken Salazar, en medio de una disputa sobre los esfuerzos de México para cambiar las leyes energéticas, en el Palacio Nacional de la Ciudad de México. 31 de marzo de 2022. Presidencia de México/Folleto vía REUTERS ESTA IMAGEN HA SIDO SUMINISTRADA POR UN TERCERO SIN REVENTAS. SIN ARCHIVOS
Imagen de archivo. El presidente de México, Andrés Manuel López Obrador, se reúne con el enviado climático de Estados Unidos, John Kerry, y el embajador estadounidense en el país, Ken Salazar, en medio de una disputa sobre los esfuerzos de México para cambiar las leyes energéticas, en el Palacio Nacional de la Ciudad de México. 31 de marzo de 2022. Presidencia de México/Folleto vía REUTERS ESTA IMAGEN HA SIDO SUMINISTRADA POR UN TERCERO SIN REVENTAS. SIN ARCHIVOS

Après que le président Andrés Manuel López Obrador a démenti lors de sa conférence matinale vendredi la version selon laquelle il y a un accord avec les États-Unis pour créer un groupe de suivi pour la réforme de l'électricité qu'il promeut, l'ambassade américaine au Mexique a réitéré ses inquiétudes concernant violations possibles de l'accord de libre-échange (T-MEC).

Dans un communiqué, il a expliqué que lors de la rencontre d'AMLO avec le secrétaire au climat John Kerry et l'ambassadeur Ken Salazar, au Palais national, il y avait une communication sur les questions que les législateurs et les hommes d'affaires américains ont concernant le projet de loi sur l'industrie électrique, car il mettrait des milliers de millions de dollars d'investissement.

La reforma de AMLO plantea que la paraestatal Comisión Federal de Electricidad tenga el 54% del control del mercado (Foto: EFE)

Pour les États-Unis, la réforme pourrait signifier une « augmentation des émissions de gaz à effet de serre », Kerry a donc souligné que les deux pays traversent un moment crucial et que la lutte contre le changement climatique doit être accélérée, et pour ce faire, il est nécessaire de travailler ensemble, pour saisir l'opportunité économique qui présente le développement de l'énergie propre.

Il convient de mentionner qu'il s'agit de la troisième réunion entre le secrétaire au climat du président Joe Biden et López Obrador au cours des cinq derniers mois ; toutes liées à la réforme de l'électricité. Cependant, je ne l'ai jamais fait avec un entourage aussi vaste, composé d'hommes d'affaires et de législateurs, ce qui représente l'importance que les États-Unis accordent à la crise climatique et aux investissements dans le secteur de l'énergie.

AMLO y John Kerry junto a la comitivita completa, integrada por empresarios (Foto: usembassy)

Après la réunion qui a duré plus de cinq heures, Kerry a déclaré aux journalistes que Lopez Obrador avait accepté de travailler avec la Maison Blanche pour examiner la réforme ; cependant, le président mexicain l'a rejetée.

Ce groupe serait dirigé par Ken Salazar, qui López Obrador a déclaré que ses portes sont ouvertes et qu'il y a une bonne relation, « mais il y a une grande différence entre écouter, informer, parler, communiquer et imposer un groupe pour nous regarder, nous observer. Personne ne permet que, peut-être, à d'autres moments, des gouvernements soumis, se rendent, mais ce n'est plus l'époque d'avant. »

Ce qu'il s'est bel et bien engagé, c'est de donner à ses voisins du nord une copie complète de la réforme.

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