COVID-19 au Pérou : les travailleurs en face-à-face ont 15 jours pour recevoir la troisième dose

La prolongation court à compter du vendredi 1er avril 2022, jour où les nouvelles mesures prises par le gouvernement péruvien pour arrêter l'avancée du nouveau coronavirus commenceront.

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Le gouvernement a officialisé l'obligation de recevoir la troisième dose du vaccin contre la COVID-19 pour les adultes, sinon ils ne le feront pas pouvoir entrer dans des établissements publics et privés. Cette disposition doit être respectée à partir du vendredi 1er avril.

En ce qui concerne le travail en présentiel, le décret suprême 030-2022-PCM précise qu'un délai de 15 jours sera accordé à ceux qui n'ont pas leur dose de renforcement pour ne pas interférer dans leurs activités professionnelles, que ce soit dans le secteur privé ou public.

« Pendant une période maximale de quinze jours civils après l'entrée en vigueur de ce décret suprême, les prestataires de services privés et les travailleurs du secteur public qui ne reçoivent pas la troisième dose peuvent continuer à exercer une activité professionnelle en face à face », indique le mécanisme juridique.

De même, les travailleurs du secteur de la santé, les conducteurs et les collecteurs de tous les services de transport public, ainsi que les personnes qui fournissent des services tels que la livraison, le taxi et le tourisme doivent démontrer qu'ils ont les trois doses du vaccin contre la COVID-19 pour être en mesure de remplir ses fonctions.

Il est à noter que la vérification de la carte physique ou virtuelle prouvant la conformité à l'application de la vaccination contre la COVID-19, au Pérou ou à l'étranger, doit être effectuée en conjonction avec le Document d'identité national (DNI) ou tout autre document certifiant votre identité.

Enfin, il convient de noter que la vaccination complète contre le nouveau coronavirus permettra aux citoyens d'accéder à des lieux tels que les centres commerciaux, les centres commerciaux, les grands magasins, les magasins en général, les conglomérats, les magasins fournissant des produits de première nécessité, les supermarchés, les marchés, les restaurants et autres en interne zones.

RESTRICTIONS RELATIVES À L'ÉTAT D'URGENCE

-Il est obligatoire d'utiliser un masque KN95, ou à défaut un masque chirurgical triple et par-dessus un masque communautaire (tissu), pour circuler sur la voie publique et dans les lieux fermés.

-Les contrevenants à la réglementation sanitaire et à l'état d'urgence nationale, qui n'ont pas respecté le paiement de l'amende imposée pour les violations commises pendant l'état d'urgence nationale et d'autres réglementations émises pour protéger la vie et la santé de la population en raison de la propagation de la COVID-19, sont empêchée de mener à bien toute procédure devant toute entité de l'État ; sans préjudice de cela, les personnes qui se trouvent dans une situation de vulnérabilité et qui sont dûment inscrites dans les registres des programmes sociaux, ainsi que des subventions monétaires, entre autres, continuent d'être bénéficiaires de tout programme national de soutien économique, les incitations, l'alimentation et la santé, en bénéficiant des avantages qui leur correspondent.

-Les agents de santé doivent recevoir les trois doses de vaccination contre la COVID-19 pour effectuer un travail en personne sur leur lieu de travail, en raison du risque élevé de contagion et de propagation des variants de la COVID-19.

-Les Péruviens, les étrangers résidents et les étrangers non-résidents âgés de 12 ans et plus dont la destination finale est le territoire national, en tant que passagers et quel que soit le pays d'origine, doivent prouver qu'ils ont reçu la première et la deuxième dose de vaccination contre la COVID-19 au Pérou ou à l'étranger, et une troisième dose de vaccination contre la COVID-19 pour les personnes de plus de 18 ans qui résident dans le pays et qui sont qualifiées pour la recevoir, selon le protocole en vigueur. À défaut, ils peuvent présenter un test moléculaire négatif avec une date de résultat au plus tard 48 heures avant l'embarquement à leur point d'origine. Les enfants de moins de 12 ans n'ont qu'à être asymptomatiques pour s'en occuper. Ceux qui présentent des symptômes à leur arrivée sur le territoire national entrent en isolement obligatoire, conformément à la réglementation en la matière.

-L'Autorité nationale de la santé est habilitée à effectuer des tests de diagnostic pour la COVID-19 aux passagers arrivant dans le pays, en établissant des mesures sanitaires complémentaires pour les cas positifs.

-Les passagers des transports aériens intérieurs de plus de 12 ans, résidents et non-résidents, ne peuvent embarquer que s'ils prouvent qu'ils ont reçu les première et deuxième doses de vaccination contre la COVID-19 au Pérou ou à l'étranger, et la troisième dose par les personnes de plus de 18 ans résidant dans le pays et qui sont autorisées pour le recevoir, selon le protocole en vigueur. S'ils n'ont pas terminé les doses requises en fonction de leur âge, ils doivent présenter un test moléculaire négatif avec une date de résultat au plus tard 48 heures avant l'embarquement. Les enfants de moins de 12 ans n'ont qu'à être asymptomatiques pour s'en occuper.

-Les passagers du service de transport terrestre interprovincial de plus de 12 ans, résidents et non-résidents, ne peuvent embarquer que s'ils prouvent qu'ils ont reçu la première et la deuxième dose de vaccination contre la COVID-19 au Pérou ou à l'étranger, et la troisième dose par les personnes de plus de 18 ans résidant dans le pays et sont qualifiés pour le recevoir, conformément au protocole en vigueur ; ou, à défaut, ils peuvent présenter un test moléculaire négatif avec une date de résultat au plus tard 48 heures avant l'embarquement. Les enfants de moins de 12 ans n'ont qu'à être asymptomatiques pour s'en occuper.

-Le service de transport de passagers urbain et interprovincial est fourni conformément aux directives approuvées par le ministère des Transports et des Communications pour la prévention de la COVID-19.

-Tous les passagers des transports terrestres interprovinciaux et urbains doivent respecter les règles relatives au port du masque, ainsi que les protocoles correspondants.

-Les chauffeurs et les collecteurs de tous les services de transport public, ainsi que les chauffeurs qui fournissent des services de livraison (livraison), de taxi et de transport privé de personnel et de tourisme ne peuvent opérer que s'ils prouvent avoir reçu, au Pérou et/ou à l'étranger, les trois doses de vaccination contre la COVID-19, à condition qu'ils soient autorisés à le recevoir, selon le protocole en vigueur.

-Les résidents de plus de 18 ans qui entrent dans des centres commerciaux, des centres commerciaux, des grands magasins, des magasins généraux, des conglomérats, des magasins fournissant des produits de première nécessité, des supermarchés, des marchés, des restaurants et similaires dans les zones intérieures, des casinos, des machines à sous, des cinémas, des théâtres, des banques, des institutions financières, des églises, des temples, lieux de culte, bibliothèques, musées, centres culturels, galeries d'art, clubs, locaux d'associations sportives, coiffeurs, salons de coiffure, spas, bains turcs, sauna, thermes, gymnases, notaires, bureaux de service à la clientèle, procédures administratives et tables de parties d'institutions publiques et privées, ainsi que en tant qu'associations professionnelles, doivent présenter leur carte physique ou virtuelle prouvant qu'elles ont reçu, au Pérou et/ou à l'étranger, les trois doses de vaccination contre la COVID-19, à condition qu'elles soient qualifiées pour la recevoir, selon le protocole en vigueur, en plus du port permanent d'un masque, selon aux conditions indiquées dans le présent décret suprême.

-Dans le cas des restaurants ou similaires, le (s) masque (s) ne peut être retiré (s) que lors de la consommation d'aliments.

-Toute personne qui effectue un travail en personne doit prouver qu'elle a reçu les trois doses de vaccination contre la COVID-19, à condition qu'elle soit qualifiée pour les recevoir, selon le protocole en vigueur, les vaccins administrés au Pérou et à l'étranger sont valides.

-Dans le cas des prestataires de services d'activités privées qui n'ont pas l'application des trois doses de vaccination contre la COVID-19, ils doivent fournir des services via la modalité de travail à distance. Lorsque la nature du travail n'est pas compatible avec le travail à distance, il est entendu que le contrat de travail est suspendu, sans avoir aucun actif, conformément au premier paragraphe de l'article 11 et au paragraphe II) de l'article 12 du texte unique ordonné du décret-loi n° 728, Loi sur la Productivité et compétitivité du travail, approuvé par le décret suprême no 003-97-TR, sauf si les parties conviennent de la suspension imparfaite de la relation de travail. Par voie de résolution ministérielle, le ministère de la Santé, en coordination avec le ministère du Travail et de la Promotion de l'emploi, peut établir des cas d'exception et des dispositions complémentaires. L'employeur a l'obligation de vérifier le respect des dispositions énoncées dans ce paragraphe.

-Pour les travailleurs du secteur public qui ne bénéficient pas des trois doses de vaccination contre la COVID-19, les dispositions du décret complémentaire final unique d'urgence n° 055-2021 et les dispositions complémentaires émises par le ministère de la Santé s'appliquent, en coordination avec l'Autorité nationale civile Le service.

-Pendant une période maximale de quinze jours civils après l'entrée en vigueur du présent décret suprême, les prestataires de services privés et les travailleurs du secteur public qui ne reçoivent pas la troisième dose peuvent continuer à exercer une activité professionnelle en face à face.

-La vérification de la carte physique ou virtuelle qui prouve la conformité à l'application de la vaccination contre la COVID-19, au Pérou et/ou à l'étranger, doit être effectuée avec un document d'identité officiel.

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