Cercado de Lima : un criminel meurt après être tombé d'une moto après avoir pris d'assaut une brasserie

Le criminel et ses trois compagnons avaient volé 18 000 soles S/à l'entreprise. Les complices de ce crime ont réussi à s'échapper.

Aux premières heures de ce samedi 26 mars, un criminel est mort alors qu'il tentait de s'échapper après avoir pris d'assaut une brasserie. L'incident s'est produit dans le bloc 2 du Paruro shirón, dans le Cercado de Lima. Malgré cela, les criminels ont réussi à prendre 18 000 soles S/18 000.

Selon la police, le défunt, moi et 3 autres personnes à bord de motos linéaires, sommes entrés dans les lieux pour cambrioler. Les criminels ont alors tenté de s'échapper, mais lorsque le criminel a tenté de monter dans l'un des véhicules, il est tombé sur le pavé et s'est cogné la tête lourdement. Les 3 autres sujets ont bel et bien fui les lieux.

Le sujet a été identifié comme étant Idelso Rosales Cano, et des experts criminels et des procureurs sont arrivés sur les lieux pour mener les enquêtes pertinentes.

Le propriétaire des lieux a déposé sa plainte au poste de police de San Andrés, et l'affaire sera renvoyée au Dirincri.

LIMA ET CALLAO RESTENT EN ÉTAT D'URGENCE

Le ministre de l'Intérieur, Alfonso Chávarry, ainsi que d'autres autorités de la région métropolitaine de Limab et de Callao, ont déclaré à la fois régions en état d'urgence. La mesure vise à contrôler et à réduire les niveaux de criminalité pendant une période au cours de laquelle un contrôle strict de la population sera régi.

La mesure annoncée le 3 février ne devait être en vigueur que pendant 45 jours, période pendant laquelle la population doit respecter certaines mesures stipulées dans la Constitution politique du Pérou. Cependant, le pouvoir exécutif a décidé de prolonger l'a href="https://www.infobae.com/america/peru/2022/01/27/lima-metropolitana-y-callao-son-declarados-en-estado-de-emergencia-por-45-dias-ante-ola-de-delincuencia/" rel="noopener noreferrer" état d'urgence dans la région métropolitaine de Lima et de Callao pour 45 autres calendriers. jours à compter du 20 mars, par le décret suprême 025-2022-PCM.

Le décret susmentionné indique que pendant la période régissant la mesure adoptée par le pouvoir exécutif, certains droits constitutionnels seront suspendus, comme le stipulent les paragraphes 9, 11, 12 et 24 de l'article 2 de notre Constitution, tels que le droit à la liberté, l'inviolabilité du domicile, la liberté de de réunion, la liberté de circulation sur le territoire national, entre autres. À ce sujet, il est important de noter les informations suivantes.

QU'EST-CE QUE L'ÉTAT D'URGENCE ?

Il s'agit d'une mesure qui, selon la Constitution politique du Pérou, peut être décrétée par le Président de la République avec l'accord du Conseil des ministres et ne doit être que pour une certaine période. Selon la manière dont les autorités le pensent, il peut s'appliquer à l'ensemble du territoire national ou à un seul secteur spécifique.

DROITS SUSPENDUS

Droit à la liberté : les sujets de droits peuvent exercer tout type d'activité impliquant l'exercice d'autres droits fondamentaux autres que la liberté, à condition qu'ils ne violent pas avec elle les normes qui composent l'ordre public, les bonnes coutumes et celles qui sont impératives par nature.

Inviolabilité du domicile : Les sujets de droits peuvent empêcher toute autre personne d'entrer chez eux pour mener des enquêtes, des perquisitions ou d'autres motifs s'ils ne l'autorisent pas ou lorsque des tiers n'ont pas d'ordonnance du tribunal. Ils ne peuvent toutefois pas l'empêcher en cas de flagrant délit ou de danger très grave de sa perpétration.

Liberté de réunion : Les sujets de droit peuvent se regrouper, se rassembler ou se réunir, sans préavis, à la fois dans des lieux privés et ouverts au public tant qu'ils le font pacifiquement. Au contraire, les réunions dans des lieux publics ou sur la route nécessitent un préavis à l'autorité, qui ne peut les interdire que pour des raisons avérées de sécurité ou de santé publique.

Liberté de transit sur le territoire national : Les sujets de droits, en principe, peuvent se déplacer librement, à l'intérieur du territoire national sur lequel ils ont leur domicile et également en dehors de celui-ci, ce qui implique la possibilité de choisir où vivre. Sauf pour des raisons de santé, par décision de justice ou par application de la loi sur les étrangers.