Tony Estanguet le répète sans lassitude depuis ces derniers jours, en réponse à la grogne des élus du département : « La Seine-Saint-Denis est et restera au cœur des Jeux de Paris 2024. » Le président du COJO l’a encore martelé mardi 15 septembre, pendant la réunion du bureau exécutif du comité d’organisation. Au cœur des Jeux, donc, mais avec un rythme de battements qui s’annonce nettement moins soutenu que prévu.
Certes, les membres fondateurs de Paris 2024 n’ont tranché aucun des dossiers en cours, pendant cette réunion de rentrée tenue au siège du COJO. Les décisions quant à la nouvelle carte des sites ne seront pas prises avant l’automne, voire la fin de l’année. Les organisateurs veulent consulter le CIO et les fédérations internationales concernées. Mais il ne fait plus guère de doute que la Seine-Saint-Denis devrait perdre deux de ses sports. Et pas les moindres.
La natation course, initialement prévue à Saint-Denis, dans un bassin temporaire voisin du futur centre aquatique olympique, ne semble plus destinée à rester dans le département. Elle est annoncée à la Paris Défense Arena de Nanterre, dans les Hauts-de-Seine. Le volley-ball, installé dans un premier temps au Bourget, dans une structure également provisoire, changera lui aussi de décor.
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Publié en partenariat avec FrancsJeux
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